Entretien avec Carlo SUARÈSÀ l'époque et selon toute vraisemblance, un professeur de dessin au Collège Sainte-Barbe de Paris interroge C. S. à propos de son Hyperbole chromatique. En quelques lignes, le kabbaliste qui affirmait souvent : "Ce que je ne peux pas dire, je le peins.", expose comment il associe Art, Science et Tradition. Auteur: Jean-Paul Héber
Carlo SUARÈS composa d’un seul trait 20 toiles hyperboliques, à Morestel en 1963. Le texte qu’il appelait la Petite grammaire de la peinture se trouva d’un seul coup animé, présent, vivant, matérialisé. Cet achèvement, ce complément de l’œuvre littéraire dans une sorte d’explosion magique de la couleur devenue lumière lui faisait dire qu’il avait, en bon artisan, en bon « compagnon », accompli son ouvrage et lui donnait une certaine paix.